vendredi 20 mars 2009

Sur la route vers Salvador...






Vendeur de papates au bord de l autoroute...












Plages sublimes...

Campagne...


Maceio.. une halte de 2 jours ... A part ses jolies plages urbaine, la ville ne vaut pas vraiment le détour!!

























Plateau télé, comme a la maison!








Pontal de Coruripe.. Une petit coin de paradis!












































Poussada de Ada, une très belle rencontre avec la maitresse de maison, une Italienne installee ici depuis 40ans! On a eu droit a notre petit cours de Portuguais, merci!


Artisanat local...


Derniere halte avant Salvador : Penedo..

Apres une Nuit la, on prend bateau puis bus jusque Aracaju.. Mais tous les bus sont complets ce jour la.. Du coup on négocie sec avec un taxi man, il faut absolument que l´on soit a Salvador ce soir... Il nous y emmene pour 70 euros, pour 4h de route, bien joué!

SALVADOR

Salvador, Capitale de l´état de Bahia acceuille 2,7 millions d´habitants. La ville fut jadis l´ancienne capitale du Brésil. Elle conserve aujourd´hui sa notoriété aussi bien auprès des touristes qu´auprès des brésiliens. La vieille ville est belle et assez bien concervée, notemment les maisons colorées de style colonial. Les habitants de Salvador, ou de l´état de Bahia en général sont connus pour leur " zen attitude" que tout le monde envie.


C´est pour nous la première fois que nous visitons une ville aussi touristique. Dans le centre historique , le pelourinho, la ville haute, il n´y a quasi que des gringos. On pourrait presque se croire en Europe si au milieu de toute cette foule de touristes il n´y avait pas tous ces gamins tout droit descendus des favelas qui profitent de la concentration touristique et donc d´argent pour mendier ostensiblement. Salvador c´est aussi ça. des km2 de favelas qui s´étalent sur les morros (collines) autour de la ville.



l´ascensseur, un des emblêmes de la ville. Il relie la partie haute (le pelourinho) et la partie basse


de la ville. le marché couvert.


les rues pavées du pelourinho


quelques maisons qui ont échappées à la rénovation.






un combi wolks wagen, comme il y en a partout au Brésil. Ça donne envie!


LA star










Quentin?



Il faut savoir que cette scène ci dessous se déroule aparemment frèquemment au Brésil.


On a rencontré pas mal de gens qui se sont fait braquès en cours de route...
On croise les doigts, mise à part le vol sans violence de mon appareil photos, il ne nous est rien arrivé. !



A Salvador, nous avions rendez vous avec mes parents. Bernard et Brigitte de leur doux prénoms. Nous passerons une semaine reposante en leur compagnie, le temps pour moi de me faire un tantinet bichonner...!
La poussada Noa Noa où Bernard et Brigitte ont déposé leurs valises se situe dans le quartier de Barra, un peu en dehors du centre, mais plus tranquille. Noa Noa est tenue par un français venu de Tahiti , pour simplifier, qui s´est installé a Salvador par amour pour sa bahiannaise...
Sa poussada retrace un peu son passé puisqu´on peut y retrouver quelques marques Tahitienne, comme un autocollant Hinano (bière de Tahiti) ou encore une peinture de Gauguin ...







BRIGITTE


BERNARD

MIZOTE



Après une semaine à Salvador, Bernard et Brigitte reprennent la route ou plutôt le ciel direction
Rio di Janeiro. tututu tutu tu tu.
Quant à nous, nous décidons de rester à Salvador deux jours de plus pour pouvoir retrouver Rapfael, un ami d erasmus qui vit aujourd´hui à Salvador.

Rafael, ci dessus à gauche sur la fotos nous enmène manger l´"aracajé" plat typique de la région de Bahia, plat a base de feijão (haricot) et d´huile de palme, youou comme c´est gras!
gras mais pas cher puisqu´un plat complet ne coute que 5 reals soit 1.5 euros, en dehors du pelourinho biensur, c´est pas pour les touristes!
L´aracajé est préparé par une Bahiannaise en costune. Si la bahiannaise n´est pas en costume, personne ne vient manger l´aracajé selon rafael.

Le lendemain soir, Rafael nous enmène assister à u concert de jazz au coeur d´un musé d´art moderne, au bord de l´eau. Après le carnaval , les oreilles encore toutes résonnantes de maracatu et de frevo, on peut dire que ça fait du bien!


après un peu plus d´une semaine de pause à Salvador, nous repartons enfin direction le parc naturel "chapada diamantina" non sans croiser en route un petit temple évangélique.